By Anaelle COULON
It is at 18 rue de la Verrerie in the 4th arrondissement of Paris, in the heart of his own atelier that the exhibition about Azzedine Alaïa takes place. In tribute to his talent disappeared too early, an incredible staging revives 41 of the most beautiful haute couture dresses of the couturier with the always sharp replica – ” I am not a designer or stylist, I am a fashion designer” he liked say. Under the glass roof, which hosted her fashion shows, Alaïa’s iconic creations tell us about the fashion designer’s 35 years of work and inspiration.
From clothing, Azzedine Alaïa said “I like those who remain beautiful and eternal, those who are not disturbed by details, ornaments or colors that age them prematurely”. The exposed dresses retranscribe the desire for eternity that inhabited Alaïa. Timeless, they free themselves from the passage of time and the passing epochs, they remain and will remain current. So you will find no cartel or explanatory text to the outfits exposed, the curator of the exhibition Olivier Saillard preferred to play with the challenge of the visitor to date them. So it’s up to you to guess that this little hoodie was worn by Grace Jones in 1986 and the next dress was worn by Naomi Campbell at the Maison’s last Haute Couture show in July 2017.
From deep black to optical white, the dresses are architected like real fashion sculptures. Each model is the result of what has made Alaïa one of the greatest couturiers: perfectly mastered cuts, a perfect fit of the models without forgetting its innovative shapes and materials. At the same time surprising and timeless, a dress Alaïa sublime and sublimate always the body of the woman who carries it.
While in Paris, do not hesitate, more than a week to go to discover the exhibition "Je suis couturier’s, a tribute to Azzedine Alaïa at 18 rue de la Verrerie !!
« Je suis couturier », une dernière semaine pour admirer les créations d’Azzedine Alaïa à Paris
C’est au 18 rue de la Verrerie dans le 4 ème arrondissement parisien, au sein même de son propre atelier que le créateur Azzedine Alaïa s’expose. En hommage à ce talent disparu trop tôt, une mise en scène incroyable fait revivre 41 des plus belles robes de Haute Couture du couturier à la réplique toujours aiguisée – « Je ne suis pas designer ni styliste, je suis couturier » se plaisait-il à dire. Sous la verrière même qui accueillait ses défilés, les créations emblématiques d’Alaïa nous racontent les 35 ans de métier et d’inspiration du couturier.
Des vêtements, Azzedine Alaïa disait « J’aime ceux qui restent beaux et éternels, ceux qui ne sont pas perturbés par des détails, des ornements ou des couleurs qui les vieillissent prématurément ». Les robes exposées retranscrivent ainsi ce désir d’éternité qui habitait Alaïa. Intemporelles, elles s’affranchissent du temps qui passe et des époques qui défilent, elles demeurent et demeureront toujours d’actualité. Vous ne trouverez donc ni cartel, ni de texte explicatif aux tenues exposées, le commissaire de l’exposition Olivier Saillard a préféré jouer avec le visiteur le défiant de pouvoir les dater. Ce sera donc à vous de deviner que cette petite robe à capuche a été portée par Grace Jones en 1986 et que la suivante habillait Naomi Campbell lors du dernier défilé Haute Couture de la Maison en juillet 2017.
Du noir profond au blanc optique, les robes sont architecturées telles de véritables sculptures de mode. Chaque modèle est le résultat de ce qui a fait d’Alaïa un des plus grands couturiers : des coupes maîtrisées à la perfection, un ajustement parfait des modèles sans oublier ses formes et matériaux toujours innovants. A la fois surprenante et intemporelle, une robe Alaïa sublime et sublimera toujours le corps de la femme qui la porte.
Alors de passage à Paris, n’hésitez pas, plus qu’une semaine pour aller découvrir l’exposition « Je suis couturier », hommage à Azzedine Alaïa au 18 rue de la Verrerie !!
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